Dansent les mots sans toi, cette obscure évidence
Qui, dans un rythme clos, glisse sur le parquet
Si valsent nos instants de ce passé douillet
À caresser nos pas j’effleure ton absence.
Transe d’écho de peau, ce cyanure ès sens
Qui navigue en nos corps, que délices mélangent
D’une oraison « d’âmer » sur la crypte des anges
Pour oublier l’odeur d’un temps à contresens.
Pleurs, sur la touche drue adoubent le linceul
D’un rêve qui ne peut crucifier la Lune
Et tente de percer de sa frêle fortune
Le jour d’un manque mort, pour ne plus rester seul.
L’on écrivait des baisers doux sur l’air du soir,
Juste le temps pour le contact d’y croire encore.
L’on éclairait le tendre feu d’un sémaphore,
Pour que l’amour trouve un futur comme l’espoir.
C’est fou mais plume touche et plus me manquent les mots pour le dire
Merci pour le partage Poète és sens
Amitié
Zoé
Le silence est d’or… 🙂
Merci
Et l’orée aux abois…
Avec un temps de réaction incommensurable 🙂
Vraiment touchée par ton poème, il est superbe.
Merci du partage
Douce soirée, bise,
Liz
C’est gentil, merci beaucoup
Une belle journée